Questionnaire de thèse sur la prise
en charge non médicamenteuse
de la démence sur l'île de la Réunion
par les médecins généralistes
Bonjour
Dans le cadre de mon travail de thèse de Médecine Générale, portant sur sur la pratique des médecins généralistes sur la prise en charge non médicamenteuse de la maladie d'Alzheimer et apparentées sur l'ile de la reunion, je vous demande de bien vouloir répondre à ce questionnaire.
JUSTIFICATIF :
Lorsque le médecin généraliste est confronté au déclin cognitif, il lui incombe de mettre en œuvre la démarche diagnostique avec le patient et son entourage.
Le diagnostic des démences est trop souvent sous estimé laissant supposer des pratiques variées en soins primaires.
En France, aucun test de repérage n’est d’ailleurs recommandé en soins de premiers recours. Or, le médecin généraliste a à sa disposition de multiples tests, dont le Général Practitioner Cognition Assessment qui est un des tests les plus évalués, permettant un point de vue de l’entourage sur la sévérité des symptômes.
Le traitement des démences a évolué ses dernières années, comme en témoigne l’avis HAS sur les molécules disponibles pour la Maladie d'Alzheimer qui a aboutit à leur déremboursement.
Cela laisse pressentir leur moindre utilisation, renforçant d’autant plus l’importance de la prise en charge non médicamenteuse, donnant alors au patient et à son entourage des moyens pour aider à gérer les conséquences de la démence sur la vie quotidienne.
OBJECTIF PRINCIPAL :
L'objectif principal est de faire un état des lieux de la prise en charge non médicamenteuse des maladies d'Alzheimer et apparentéés
OBJECTIFS SECONDAIRES :
Les objectifs secondaires sont de recueillir les freins/motivations des médecins généralistes à prescrire ou non des traitements non médicamenteux (kinésithérapie, orthophonie...) et le degré d'autonomie (adresser ou non à un spécialiste) des médecins généralistes face au diagnostic et à la prise en charge globale d'un patient dément.
RESULTATS :
Sous prescriptions de traitement non médicamenteux tels que la kinésithérapie, ergothérapie, hopital de jour, associations d'aides (afin de diminuer également le syndrome du fardeau) ? Freins et motivations des praticiens de premier recours a prescrire des traitements non médicamenteux.
Bien cordialement, Josepha PANISSET
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